KAP CODE & NOCK LAB, UN DÉPARTEMENT DE PSYCHOLOGIE DE L’UNIVERSITÉ DE HARVARD DÉVELOPPENT DES ALGORITHMES POUR IDENTIFIER LES PENSÉES SUICIDAIRES SUR LES RÉSEAUX SOCIAUX
Selon, l’Organisation mondiale de la Santé, plus de 700 000 personnes sont mortes par suicide en 2019, classant l’acte suicidaire en 4ème cause de mort après les accidents de la route, la tuberculose et la violence interpersonnelle chez les 15 à 29 ans1 . Le suicide est souvent perçu comme un acte spontané. Cependant, la majorité des personnes qui se suicident expriment leurs pensées sur la mort ou le suicide bien avant le passage à l’acte. L’analyse de telles propos, retrouvés sur les plateformes d’échanges, permet une identification précoce de signaux d’alertes.